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Ä Seul
Ä Se
faire conseiller par les parents, les copains, ou d’autre motards
Ä Apprendre
le strict minimum pour avoir son permis
Ä S’inscrire
dans une moto école et participer aux cours théoriques et pratiques
Ä Avantages : Pas de rendez-vous
fixes, séances à durée variable, frais réduits…
Ä Inconvénients : Formation
hasardeuse, cantonnée au strict nécessaire, sans apport de conseil efficaces.
Faire d’un élève un motard qui
sait pratiquer la moto sans gêner, sans surprendre, et sans être surpris.
C’est aussi acquérir les bases
solides qui permettrons de circuler en toute sécurité parmi les autres usagers,
de bien connaître les risques et de savoir les éviter.
Enseigner la moto de façon
efficace et adaptée à chaque élève.
Il veille notamment à ce
que :
Ä Les
mauvaises habitudes ne s’installent pas
Ä L’élève
mémorise les bons comportements, les bons automatismes
Ä Tous
les points de la formation soient abordés et acquis
Ä Son
expérience soit profitable aux élèves
De plus, le moniteur connaît bien
les modalités de l’examen, et permet à chaque élève de se présenter dans les
meilleures conditions
Quel que soit l’apprentissage,
l’élève va rencontrer des difficultés :
Ä Il
va buter sur des points qu’il pensait faciles
Ä Il
va avoir l’impression de progresser lentement, ou même pas du tout
Ä Il
va connaître des moments de découragement
Mais l’apprentissage de la moto
génère lui aussi ses propres difficultés :
Ä Découvrir
des contraintes imprévues au départ : les intempéries
Ä Devoir
assimiler beaucoup de notions théoriques et techniques
Ä Devoir
s’imposer une discipline plus sévère qu’on ne le pensait
Ces difficultés mettent en
évidence le rôle important du moniteur -> évaluer les difficultés et
recentrer le travail pour y remédier.
Il
contient l’ensemble du programme de formation, dont les principaux points sont
regroupés en étapes de synthèses.
Il
permet au moniteur de noter les acquisitions et les progrès de l’élève.
Il permet à l’élève de :
Ä Mesurer
le chemin parcouru
Ä Apprécier
le chemin qu’il reste à parcourir
Ä Prendre
conscience de ses points faibles
1.
Maîtriser la moto à allure lente hors circulation
2.
Maîtriser la moto à allure normale hors circulation
3.
Choisir la position sur la chaussée, franchir une
intersection et y changer de direction
4.
Circuler dans des conditions normales sur route et en
agglomération
5.
Connaître les situations présentant des difficultés
particulières
Chaque étape doit être
parfaitement acquise avant de pouvoir attaquer correctement la suivante
Des lacunes pourraient subsister
dans la formation, ce qui se ressentirait sur la conduite
Les principaux volets de la
formation sont :
Ä La
maîtrise de la moto
Ä La
conduite en circulation
Ä Les
situations d’urgence
La connaissance théorique de la moto et celles des règles de circulation sont indispensables
Mais la moto est essentiellement
une activité pratique qui se fait sur le terrain
Avant de conduire parmi les
autres usagers, il faut savoir maîtriser la moto, c’est à dire être
parfaitement capable de la diriger :
Ä Maîtriser
sans l’aide du moteur
Ä Maîtriser
à allure lente
Ä Maîtriser
à allure normale
Ä Maîtriser
en situation d’urgence
La conduite en circulation
demande une attention particulière à l’environnement :
Signalisation
– Autres usages – Indices divers - …
Il
faut que l’esprit soit libéré de toute préoccupation liées à la manipulation de
la moto
Une situation d’urgence est une
circonstance inhabituelle :
Ä Eviter
un obstacle -> portière qui s’ouvre, piéton imprudent
Ä Parer
une défaillance mécanique -> crevaison, panne d’essence, guidonnage
Ä Réagir
à un mauvais comportement du passager ou à une chute des bagages
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