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Les jeunes sont fascinés par les
motards -> il faut être un exemple.
Les autres usagés regardent les
motards comme des conducteurs imprudents :
Ä A
cause des possibilités d’accélération de la moto.
Ä Parce
qu’il ne comprennent pas la façon de conduire une moto.
Certains motards ne font rien
pour améliorer cette situation -> ils se faufilent et font des dépassements
risqués.
La tenue du motard n’améliore pas
cette image : dissimulé derrière son casque et revêtu d’un blouson de
cuir.
La facilité avec laquelle les
motos se déplacent en ville peut frustrer les conducteurs pris régulièrement
dans les embouteillages.
A l’inverse, les motards passent
pour des usagers solidaires les uns des autres -> améliore l’image.
Etre solidaire c’est bien, mais
il faut que les motards circulent avec les autres, et pas dans un monde à part.
Il y a aujourd’hui 1 million de
motos en France.
Nombre d’anciens automobilistes
ont commencés à conduire alors que les motos étaient encore rares.
Certains motards ne tiennent pas
compte du fait qu’une voiture est moins maniable, moins agile qu’une moto.
Ce décalage et cette
incompréhension font apparaître les problèmes de cohabitation.
Certains motards sont
volontairement bruyants et agressifs -> ils aggravent la situation (se
rendent impopulaires).
C’est sur ce type de comportement
que les autres usagers s’appuient pour juger l’ensemble des motards, en se
référent à une minorité d’entre eux.
1. Le bruit : il gêne tout le monde
-> éviter les montées en régime inutiles, les accélérations à l’arrêt, de
modifier le système d’échappement.
2. Les fumées : malodorantes, opaques
et toxiques incommodent tout le monde. Un contrôle régulier et un réglage sont
des remèdes à cet inconvénients.
3. Le comportement : En stationnant
sur le trottoir on gêne les piétons ; En zigzaguant dans la circulation on
risque de surprendre ou de faire peur.
4. Dégradations : La pratique de la
moto tout terrain est réglementée en particulier par le Code Forestier. Elle
peut se pratiquer sur les chemins ouverts à la circulation. Autrement il faut
l’accord du propriétaire du terrain (privé ou public : commune).
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